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MESSE DES FAMILLES LE SAMEDI 12 AVRIL

La prochaine messe des familles aura lieu le samedi 12 avril à 18h, qui sera aussi la Célébration des Rameaux.

La messe sera animée par le groupe Trinity’s. Elle marquera l’entrée dans la Semaine Sainte.

UNE SOIREE POUR TOUS AVEC LES JEUNES ET LES CONFIRMES

Les jeunes de la catéchèse et les confirmés vous invitent à un temps d’adoration pour se rencentrer sur Dieu. Le vendredi 11 avril à partir de 17h à l’église de la Sainte-Trinité. Au programme : un atelier de peinture autour de la Bible, un moment de prière et un repas canadien convivial pour échanger et se rencontrer. Un beau moment à vivre ensemble !

CINÉ CLUB DE LA SAINTE-TRINITÉ

CINÉ CLUB DE LA SAINTE-TRINITÉ

Le Décalogue 8 de Krzysztof KIEŚLOWSKI (1989, Pologne, 59’)

Age légal : 16 ans.

 

 

Le cinéaste

Élève de la prestigieuse école de cinéma de Lodz dont il sort diplômé en 1969, Krzysztof Kieślowski commence sa carrière avec des documentaires avant de passer à la fiction. Dès ses premières réalisations, il dénonce les incohérences du système communiste. On retrouvera ces thématiques dans ses fictions comme L’Amateur (1979), où un cinéaste amateur saisit malgré lui les dérives du système, ou Le Hasard (1981) où le même personnage, Witek, deviendra prêtre, syndicaliste ou médecin selon les caprices du destin. Le film sera ultérieurement perçu comme une parabole sur l’engagement dans la Pologne des années Jaruzelski. Sans fin (1984) marque les débuts de sa collaboration avec l’avocat Krzysztof Piesiewicz qui se poursuit jusqu’à sa mort. La reconnaissance internationale vient avec le Décalogue (1989-1990) initialement réalisé pour la télévision polonaise. Il est surtout connu pour La Double vie de Véronique (1991) et la trilogie Trois couleurs (Bleu/Blanc/Rouge).

 

Le film

Une femme d’âge mûr, Zofia, dirige à l’université des séminaires sur les problèmes moraux contemporains et écrit des livres sur le môme sujet. Elle reçoit la traductrice américaine de ses oeuvres, Elizabeth Lawrence. Au cours d’une session à laquelle elle assiste, la visiteuse propose un cas vécu. En 1943, une femme a refusé d’acheminer une petite Juive vers un refuge qui lui aurait été assuré par le baptême en prétextant que la situation serait mensongère. Zofia se reconnaît dans cette femme et apprend qu’Elizabeth est l’enfant qui a survécu tout de même. Elle explique à son invitée que la situation était plus complexe qu’il n’y paraissait et chacune des deux femmes retrouve une certaine paix de l’esprit.